Mardi 24 août 2010 à 21:06

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The "Tow Sang" of the Ancients

Je méprise ce monde,
Je hais l'enfant qui hurle de douleurs en moi,

Ce monde connais la complexité du superflux,
Il y a trop de monde heureux d'être vulnérable,
Il y a trop de gens qui veulent se sentir vivant à travers du vent...

Jamais je ne pourrais révolutionner ce monde,
Il est encré en moi,
Il est dans mes entrailles,
Il est tatouer sur mon corps..

Mon passé est vil et cruel,
Mon présent est rasoir,
Mon futur inconnu,
 
Ce qui est sure c'est que la passé est la base du présent,
le ciment du futur,

Je suis un bâtard,
Fruit d'un accouplement hors du temps,
oui ce temps ou le romantisme existait encore,
A ce jour on pèse l'amour à la taille du porte feuille,
Je suis un petit fils d'agriculteur,
un fils d'artisan,
et un fils de pute.

Il y avais des jours ou je trainai seul,
Il y avais des jours ou je me cultivais à travers des livres ou des choses simples,
Je suis un utopiste raté,


L'amour est dans les veines de la famille,
ma famille à moi se compose de violeurs, menteurs, opportunistes, ect

L'amour d'une mére se résume à coup de lame,
L'amour d'un pére à la description de ce monde,
Quand il me corrigeait il suivit les directives de son être tant aimer,
Pauvre enfant qui voyait ma grand mére se faire frapper à mort par son mari,
Lui même victime de la folie des hommes,
La guerre, les trahisons,
L'alcool, la drogue...

Si je parle de femmes,
Mes propos ne sont pas misogynes,
Elles m'ont trop faites souffrir,
Je les ai aimer tant bien que mal,

Elles sont toujours la à te tromper,
A se donner au plus offrant,

Je suis loin de tout,
Je suis loin de moi même,
a mes espoirs de vivre heureux,
De vouloir montrer qu'il n y a pas que du mauvais ici bas,
Mais quand je repense à ceux que j'ai aimer,
Ceux qui m'ont briser,
Ceux qui se sont  soulager de toutes complications,
Ceux que j'ai chéri,
Ceux qui m'ont laisser crever dans cette appartement,
Dans ce quartier de riches,

A ce jour je vis avec des pauvres,
Bien plus riches dans leur coeur que tout ceux que j'ai connu,

Oui je suis  un lâche,
Mais mes propos viennent de mon coeur,
ressens ma peine,
ressens mes douleurs,
Ressent ce que c'est de te faire abandonner enfant,
Ressent le viol et l'abus de proches,
Oui ressent cette lame qui te pénétre le fond de ton âme,
Pleure tant que tu peux sur le sol,
Hurle ta rage seul face à l'ocean,
Oui crève ta voix durant la nuit,
Contemple les étoiles,
Regarde leur lumiéres s'estomper,

Rêve de vengeance,
Rêve de bonheur que jamais tu trouveras,
Je suis victime de moi même,

je me refuse de me soigner,
Je me refuse de devenir celui que j'ai toujours mépriser,

J'ai besoin de détruire ceux  qui ne me comprennent pas,
Ceux qui m'ont condamner dans ce monde déchu,
Ce monde ou tu n'as jamais eu le droit à de la sincérité,
Ou tu vois tout ce qui vice,

Je voulais une once pureté,
Je voulais juste une étreinte,
Sentir mes mains sur ses reins,
Sentir mes lévres dans le creux de son cou;
La sentir  frémir lorsqu'elle ressent mon souffle sur sa peau ...
La voir me dire je t'aime,
Puis voir le monde à travers ses yeux...

Par Earinde le Jeudi 26 août 2010 à 17:17
Je ne sais même pas quoi dire face à toute la souffrance qu'il y a dans tes mots. C'est très beau, mais dire cela me semble presque décalé face à la douleur qu'il y a dans ces lignes.
Tout ce que je peux faire en tant qu'inconnue de passage, c'est t'encourager à ne pas vivre dans le regret mais plutôt d'aller de l'avant...
Courage.
 

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